jeudi 6 septembre 2007

c'est le grand retour de monica, la dame blanche de Haute Savoie, grâce à elle nous avons passé une soirée sympa, grâce à nos soleils aussi, une petite pensée pour notre voisin Amar qui n'avait pas super le moral, mais il est costaud ce Amar!!
Notre nouveau serveur , Giad commence à connaitre un peu tout le monde, vous verrez c'est un loulou sympa!, Bref tout cela nous a encore emmené un peu tard et je sens qu'on va pas être très en forme demain!
Ne vous battez pas trop pour les commentaires, prenez votre temps, mais quand même vous avez le droit.
Bon on attaque bientôt les concerts, si la sacem se décide, et vu le temps je sens qu'on va rattaquer la tartiflette très très bientôt, à mort les régimes!
Samedi c'est Fabio qui bosse, dimanche c'est moi, vous savez donc à quoi vous attendre, à bientôt.

3 commentaires:

Blogger Jean-Claude Arrougé a dit...

UTILE

À quoi sert une chanson
Si elle est désarmée?
Me disaient des chiliens,
Bras ouverts, poings serrés
Comme une langue ancienne
Qu'on voudrait massacrer,
Je veux être utile
À vivre et à rêver

Comme la lune fidèle
À n'importe quel quartier
Je veux être utile
À ceux qui m'ont aimé
À ceux qui m'aimeront
Et à ceux qui m'aimaient
Je veux être utile
À vivre et à chanter

Dans n'importe quel quartier
D'une lune perdue
Même si les maîtres parlent
Et qu'on ne m'entend plus
Même si c'est moi qui chante
À n'importe quel coin de rue
Je veux être utile
À vivre et à rêver

À quoi sert une chanson
Si elle est désarmée?


Etienne Roda Gil

8 septembre 2007 à 01:34  
Blogger Jean-Claude Arrougé a dit...

JE CHANTE, EXCUSE-MOI

Une fois de plus la Terre tremble
Les morts on ne peut les compter
Le monde autour de nous ressemble
A un océan démonté
Les peuples frères se déchirent
On empoisonne nos jardins

La tendresse est à reconstruire

Et moi j'ai oublié le pain

Tais-toi je sais tout ça
Tais-toi mais tais-toi
Je sais que la vie est méchante
Qu'elle nous coule entre les doigts
Je sais l'amour que je te dois
Et moi pendant ce temps je chante
Excuse-moi.

On ne compte plus les offenses
On barricade la douleur
On assassine vos enfances
Et on dénature les fleurs
On est esclave des machines
On mange et ça n'a plus de goût
On ne veut pas de filles en Chine.

Et moi je t'ai manqué beaucoup

Tais-toi je sais tout ça
Tais-toi mais tais-toi
Je sais le poids de l'épouvante
Je sais la morsure du froid
L'horreur d’avoir perdu la foi
Et moi pendant ce temps je chante
Excuse-moi.

La liberté n'est plus qu'un leurre
L'amour se perd au quotidien
Chez les voisins je crois qu'on pleure
Mais surtout qu'on en dise rien
Les hôpitaux sont plein d'archanges
Qui ont simplement eu tout faux
Les différences ça dérange.

Je ne suis pas là quand il faut.

Tais-toi je sais tout ça
Tais-toi mais tais-toi
Si tu savais comme ça me hante
Je me demande quelquefois
Si ça mérite qu'on y croie
Et moi pendant ce temps je chante
Excuse-moi.

Tais-toi je sais tout ça
Tais-toi mais tais-toi
Moi j’ai la vie qui me tourmente
Et le coeur qui se débat
Mais je pense en avoir le droit
Et c'est pour ça que je chante
Ecoute-moi.

8 septembre 2007 à 01:43  
Blogger Jean-Claude Arrougé a dit...

ON S'RA JAMAIS VIEUX

On s'ra jamais vieux
On s'ra jamais vieux,
On s'ra intrépides,
Espiègles, perfides,
Irrévérencieux.
On s'ra professeurs
En incertitude
En inhabitude
En Droit... à l'erreur.
Tant que not' cerveau
Sera pas liquide,
C'est pas quelques rides
Qui nous f'ront la peau !
On s'ra jamais vieux !

J'cass'rai les frimeurs,
J'leur f'rai des croche-pattes,
J'asperg'rai d'picrate
Leur cravate à fleurs !
Les nuits de poker
Aux cartes vermeilles,
On flamb'ra l'oseille
De l'apothicaire !
Les premiers debout
Les jours de tangage,
Les soirs de naufrage,
Jamais à genoux
On s'ra jamais vieux

On s'ra comédiens
De la pire espèce,
On f'ra des promesses
Aux politiciens
On n'aura pas peur
De faire la grimace
Aux guerriers qui passent,
Fiers d'être vainqueurs,
Et sur ces guignols,
On piss'ra des larmes
Pour rouiller leurs armes
Au cholestérol !
On s'ra jamais vieux !

On saura par coeur
L'air de la bêtise
On donnera des c'rises
Au merle moqueur,
Et dans le salon,
Même au crépuscule,
Y aura pas d'pendule
Qui dit oui, qui dit non,
On prendra l'avion
Pour voir les hôtesses,
J'leur pinc'rai les fesses,
Tu m'f'ras les yeux ronds
On s'ra jamais vieux!

Quand j'ferm'rai les yeux
Je pos'rai mon âme
A tes pieds, Madame
Chacun son bon Dieu !
Tu connais le vent,
Y m'fait des chatouilles,
Et si ma dépouille
Part les pieds devant,
On va rigoler
En tête du cortège,
Ça f'ra boule de neige
Dans tout l'défilé !
On s'ra jamais vieux !

Bernard Joyet

8 septembre 2007 à 01:45  

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